Le candidat malheureux à la présidentielle du samedi 22 juin dernier, Monsieur Biram Dah Ould Abeid a lors d’une émission en direct sur la Chaine privée, Sahel TV, précisé que « la reconnaissance de l’opposition du futur pouvoir dépendra des discussions qui seront entretenues ».
Des discussions sur tous les problèmes entre autres l’unité nationale, de l’enseignement, la santé, l’Etat civil, la refonte de la Céni, la situation politique, la gestion des ressources, la situation générale du pays…, selon ses propos.
"Seul un dialogue positif et juste entre les autorités et l'opposition va favoriser une cohabitation politique qui donnera naissance à une réflexion sur tous les problèmes qui seront répertoriés", martèle le député Biram.
Venu deuxième après le président nouvellement élu, Monsieur Mohamed Ould Ghazwnai, Biram, précise que les résultats annoncés par la Céni et confirmés par le Conseil constitutionnel ne reflètent en aucun cas la réalité des faits.
S’agissant de son avenir politique, le leader du mouvement IRA restera au sein du parti Sawab en attendant la création d’un parti.
« Je souhaite d'abord que le parti Sawab s’ouvre davantage pour accueillir la coalition qui m'a soutenue pendant l’élection présidentielle. En attendant de lancer les jalons d’une formation politique qui va accueillir les masses populaires convaincues par son programme et sa déclaration générale. Le parti sera une solution aux rudes épreuves dont souffrent les mauritaniens », annonça Biram.
Répondant à une question relative à ses participations aux élections législatives et présidentielles, il a dit qu’il n’est pas de nature boycottiste. C’est la participation active aux scrutins qui permet de pouvoir gagner du terrain, de drainer les foules et de s'approcher des populations ,tonne Biram.
Concernant son arrivée au parti Sawab, il a dit qu’elle était mal vue par certains qui l’ont qualifié de « traitre ». Mais, enfin, ils ont vu et su le contraire (...).
Quant à ses rapports avec la CVE, il a affirmé qu’il y a dans cette coalition « des personnes qui ne l’aiment pas et même le détestent ».
A propos de la marché de contestation du 24 juin qui a été annulée. Il a répondu que les quatre candidats de l'opposition ont préféré d'éviter le choc. Cependant, les militants étaient au rendez-vous et prêts à descendre dans la rue, ajoute-t-il.
Au terme de cet entretien avec les confrères Ahmed El Bou et Bakary Guèye, l’opposant Biram, a signalé que la situation du pays n’est bonne parce qu’il y a des fautes qui méritent d’être corrigées.
Des discussions sur tous les problèmes entre autres l’unité nationale, de l’enseignement, la santé, l’Etat civil, la refonte de la Céni, la situation politique, la gestion des ressources, la situation générale du pays…, selon ses propos.
"Seul un dialogue positif et juste entre les autorités et l'opposition va favoriser une cohabitation politique qui donnera naissance à une réflexion sur tous les problèmes qui seront répertoriés", martèle le député Biram.
Venu deuxième après le président nouvellement élu, Monsieur Mohamed Ould Ghazwnai, Biram, précise que les résultats annoncés par la Céni et confirmés par le Conseil constitutionnel ne reflètent en aucun cas la réalité des faits.
S’agissant de son avenir politique, le leader du mouvement IRA restera au sein du parti Sawab en attendant la création d’un parti.
« Je souhaite d'abord que le parti Sawab s’ouvre davantage pour accueillir la coalition qui m'a soutenue pendant l’élection présidentielle. En attendant de lancer les jalons d’une formation politique qui va accueillir les masses populaires convaincues par son programme et sa déclaration générale. Le parti sera une solution aux rudes épreuves dont souffrent les mauritaniens », annonça Biram.
Répondant à une question relative à ses participations aux élections législatives et présidentielles, il a dit qu’il n’est pas de nature boycottiste. C’est la participation active aux scrutins qui permet de pouvoir gagner du terrain, de drainer les foules et de s'approcher des populations ,tonne Biram.
Concernant son arrivée au parti Sawab, il a dit qu’elle était mal vue par certains qui l’ont qualifié de « traitre ». Mais, enfin, ils ont vu et su le contraire (...).
Quant à ses rapports avec la CVE, il a affirmé qu’il y a dans cette coalition « des personnes qui ne l’aiment pas et même le détestent ».
A propos de la marché de contestation du 24 juin qui a été annulée. Il a répondu que les quatre candidats de l'opposition ont préféré d'éviter le choc. Cependant, les militants étaient au rendez-vous et prêts à descendre dans la rue, ajoute-t-il.
Au terme de cet entretien avec les confrères Ahmed El Bou et Bakary Guèye, l’opposant Biram, a signalé que la situation du pays n’est bonne parce qu’il y a des fautes qui méritent d’être corrigées.
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