Il est impossible de nier aujourd'hui que le
viol porte gravement atteinte à la dignité de l'individu et que ses
répercussions psychologiques, morales et sociales sur la vie des victimes sont
considérables. Tout abus sexuel constitue une violation de l'intégrité de la
personne et provoque toujours un traumatisme. Or, dans notre société, le viol
demeure un crime " marginal " et les violeurs sont, parmi tous les
criminels, « ceux qui jouissent de la plus grande impunité » : une minorité de
viols fait l'objet d'une plainte, les condamnations demeurent peu fréquentes et
les peines prononcées sont souvent dérisoires, malgré l'adoption au cours des
deux dernières décennies de lois plus répressives mais qui restent empreintes
d'un sexisme latent. Et les jeunes filles piégées par les « tournantes », viols
collectifs perpétrés dans les cités délaissées, souffrent particulièrement de
l'indifférence et de la suspicion, eu égard notamment aux rapports complexes et
souvent ambigus entretenus entre les victimes et leurs agresseurs.
« Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler
de la petite warda, c’est une fille toute simple. A l’époque de l’histoire que
je vais vous raconter, elle est élève en classe de 2eme primaire. Elle a
7 ans, c’est sa première année d’école à Nouadhibou, alors c’est un peu la
fête. L’école n’est pas loin de la maison des parents, une grande sœur à côté,
sa vie à l’école à un goût de sécurité.
.un jour lors de la récréation warda sort de l’école pour prendre
son gouter à la boutique d’à côté, bien qu’elle soit accompagnée par sa grande
sœur la petit warda reste e moment devant la boutique comme tous enfant pour
prendre son gouter et soudain sa grande sœur rentre à l’école puis en classe.
Warda se dirige vers l’école après avoir
terminée de prendre son gouter et soudain un homme gros noir comme elle le
décrit elle-même apparait et la prendre par la main et la menace avec un
couteau.
Le gros homme noir amène la petite fille dans un
conteneur et A peine entré, il
prend toute la place, ferme la porte, la petite contre le lui, enserrant ses
poignets, bloquant ses jambes. Il commence sa scène de viole, à lui dire si
jamais tu dis ce qui s’est passé ici je t’égorge,
, là elle est confrontée au désir brut d’un
homme qui fait au moins 80 kilos de plus qu’elle, et 50 ans de différence
d’âge à sa force, à sa stature. Elle a peur, terriblement, sait qu’il y a
quelque chose d’anormal. Elle dit non, le répète, le crie, mais ça ne sert à
rien.
Puis il s’est simplement rhabillé en lui disant
qu’il fallait que cet épisode reste entre eux, et si jamais qu’elle parle de ça
elle est morte.
Elle est restée groggy un moment. Puis est allée
à l’école mais vu les douleurs elle tombe devant sa classe et son enseignant
arrive pour voir ce qui se passe et fini par appeler sa grande sœur qui va
l’accompagner à la maison parentale.
La petite warda saigne abandonnement et rien à
faire que d’appeler son père, un homme qui à sacrifier toute sa vie pour la
couse des autres ; la défense et la dénonciation des crimes commis contre
les filles et la femme dont le viol ; et voilà que cela arrive dans sa
propre famille sa fille qu’il a déposé lui-même se matin à l’école.
Une plainte est déposer au commissariat de
Madrid est la police fut présente à l’hôpital là où la petite Warda soufré et
tremblée comme un feuille.
Et au moment que la gynécologue et son équipe
arrive à arrêter le saignement, les éléments de la police demande
l’autorisation d’amener la petite pour les montrée au est passé la scène et
cela bien sûr après beaucoup de tentatives et promesse a la petite qu’ils vont
tuer le coupable.
La police vient
chercher le coupable en compagnie de la petite warda à son poste de travail là
où le crime c’est produit et la petite warda reconnais immédiatement son
bourreau. Il est immédiatement placé en garde à vue, puis mis en examen, par le
juge d'instruction pour enlèvement et séquestration et viol………….. !
Nous allons revenir pour la suite de l’affaire
Une plainte est déposer au commissariat de
Madrid est la police fut présente à l’hôpital là où la petite Warda soufré et
tremblée comme un feuille.
Et au moment que la gynécologue et son équipe
arrive à arrêter le saignement, les éléments de la police demande
l’autorisation d’amener la petite pour les montrée au est passé la scène et
cela bien sûr après beaucoup de tentatives et promesse a la petite qu’ils vont
tuer le coupable.
La police vient
chercher le coupable en compagnie de la petite warda à son poste de travail là
où le crime c’est produit et la petite warda reconnais immédiatement son
bourreau. Il est immédiatement placé en garde à vue, puis mis en examen, par le
juge d'instruction pour enlèvement et séquestration et viol………….. !
Nous allons revenir pour la suite de l’affaire
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