Maghreb Online - La controverse est de nouveau revenue sur la scène politique locale, des années après la signature d’un accord de pêche par le gouvernement mauritanien avec une entreprise chinoise.
Accord qui fut discuté par le Parlement dans une ambiance d’accusations et et de contradictions sévères. La division autour de l’accord controversé ne s’est pas limitée à l’opposition et aux parlementaires fidèles, mais s’est plutôt étendue à la rue. Seulement la majorité des députés soutenant à l’époque, le président là, Mohamed Ould Abdel Aziz, ont réussi à le passer facilement.
L’accord permet à la société chinoise de construire et d’exploiter un complexe industriel intégré pour la pêche maritime dans la ville côtière de Nouadhibou pour un coût financier de 100 millions de dollars.
Il comprend également la remise en état des terres désignées pour la construction d’un poste d’amarrage et d’un port de déchargement des navires. Il comprend aussi, la construction d’usines de farine de poisson, de glace et de réfrigération, d’unités de traitement des produits du poisson et d’ateliers de fabrication de bateaux de pêche traditionnels.
L’accord prévoit d’importantes exonérations fiscales et douanières pour la partie chinoise et de grandes facilités pour l’importation de main-d’œuvre étrangère. Il garantit également la stabilité du système juridique tout au long de la période de mise en œuvre de l’accord, qui stipule qu’il s’étend sur une période de 25 ans, sauf si les parties en conviennent autrement.
Accord qui fut discuté par le Parlement dans une ambiance d’accusations et et de contradictions sévères. La division autour de l’accord controversé ne s’est pas limitée à l’opposition et aux parlementaires fidèles, mais s’est plutôt étendue à la rue. Seulement la majorité des députés soutenant à l’époque, le président là, Mohamed Ould Abdel Aziz, ont réussi à le passer facilement.
L’accord permet à la société chinoise de construire et d’exploiter un complexe industriel intégré pour la pêche maritime dans la ville côtière de Nouadhibou pour un coût financier de 100 millions de dollars.
Il comprend également la remise en état des terres désignées pour la construction d’un poste d’amarrage et d’un port de déchargement des navires. Il comprend aussi, la construction d’usines de farine de poisson, de glace et de réfrigération, d’unités de traitement des produits du poisson et d’ateliers de fabrication de bateaux de pêche traditionnels.
L’accord prévoit d’importantes exonérations fiscales et douanières pour la partie chinoise et de grandes facilités pour l’importation de main-d’œuvre étrangère. Il garantit également la stabilité du système juridique tout au long de la période de mise en œuvre de l’accord, qui stipule qu’il s’étend sur une période de 25 ans, sauf si les parties en conviennent autrement.
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