L'Expression - Le passage de cette firme à l’export est un bon signe pour l’avenir de l’économie locale. L’entreprise de construction navale Sacomas, dont les ateliers se trouvent à Azeffoun, vient d’annoncer qu’elle se lance désormais dans l’exportation.
Selon son directeur, Islam Benaoudia, la firme algérienne est en train de construire des bateaux destinés à la Mauritanie, alors que des pourparlers avancés sont en cours avec un autre pays, le Cameroun. C’est donc une percée de l’industrie navale algérienne en Afrique.
En effet, après une période d’arrêt, suite au gel des autorisations d’exploitation par le ministère de la Pêche, l’entreprise Sacomas, créée en 2008, se lance dans la construction durant l’année en cours, de grands bateaux thoniers allant jusqu’à 36 mètres.
Pour son responsable, l’année 2020 apporte donc de grands espoirs pour l’industrie navale en général et la firme Sacomas en particulier. Rien que pour cette année, elle a décroché un grand marché vers la Mauritanie et probablement vers le Cameroun. Parallèlement à cette lourde industrie navale, la firme Sacomas est également prête à exporter tous ses produits, précise Islam Benaoudia.
En fait, parvenir à exporter les produits algériens vers l’Afrique n’a pas été une sinécure. Durant plusieurs années, la firme s’est lancée, malgré le gel des autorisations pour les gros bateaux dans l’industrie de petites embarcations, mais surtout la formation de son personnel à la technologie européenne, très avancée dans le domaine.
Cinq conventions ont en effet été signées avec un constructeur espagnol présent en Algérie depuis 1974 et qui a vendu à l’Algérie 70 bateaux. Pour Benaoudia, la confiance mutuelle entre le partenaire algérien et la firme espagnole a amené cette dernière à mettre à profit de Sacomas sa technologie qui lui permettra ainsi de conquérir les marchés africains.
Par ailleurs, il convient de mettre en exergue l’importance de cette réalisation de la firme Sacomas. La démarche de l’exportation permet à l’Algérie de varier sa gamme de recettes en limitant la facture des importations.
Satisfaire ses besoins internes en industrie navale est une nécessité en compagnie de l’émergence d’une industrie dont les produits sont exportés vers l’étranger, essentiellement vers le continent africain dont la demande se fait de plus en plus sentir en la matière.
Enfin, il est à signaler que le passage de la firme Sacomas à l’export est un bon signe pour l’avenir de l’économie locale. La wilaya de Tizi Ouzou enregistre donc depuis le début de l’année une dynamique de relance de son activité économique. En effet, c’était d’abord à l’entreprise Eniem d’annoncer la fin du cycle des difficultés.
La relance de son activité annonce d’ailleurs, des lendemains prometteurs pour l’exportation des produits électroménagers Eniem vers les pays de l’Afrique de l‘Ouest. Hier, ce fut à la firme Sacomas d’Azeffoun d’annoncer la bonne nouvelle de l’exportation vers le même continent. Deux entreprises qui peuvent également créer de l’emploi, si les prévisions sont bonnes.
Selon son directeur, Islam Benaoudia, la firme algérienne est en train de construire des bateaux destinés à la Mauritanie, alors que des pourparlers avancés sont en cours avec un autre pays, le Cameroun. C’est donc une percée de l’industrie navale algérienne en Afrique.
En effet, après une période d’arrêt, suite au gel des autorisations d’exploitation par le ministère de la Pêche, l’entreprise Sacomas, créée en 2008, se lance dans la construction durant l’année en cours, de grands bateaux thoniers allant jusqu’à 36 mètres.
Pour son responsable, l’année 2020 apporte donc de grands espoirs pour l’industrie navale en général et la firme Sacomas en particulier. Rien que pour cette année, elle a décroché un grand marché vers la Mauritanie et probablement vers le Cameroun. Parallèlement à cette lourde industrie navale, la firme Sacomas est également prête à exporter tous ses produits, précise Islam Benaoudia.
En fait, parvenir à exporter les produits algériens vers l’Afrique n’a pas été une sinécure. Durant plusieurs années, la firme s’est lancée, malgré le gel des autorisations pour les gros bateaux dans l’industrie de petites embarcations, mais surtout la formation de son personnel à la technologie européenne, très avancée dans le domaine.
Cinq conventions ont en effet été signées avec un constructeur espagnol présent en Algérie depuis 1974 et qui a vendu à l’Algérie 70 bateaux. Pour Benaoudia, la confiance mutuelle entre le partenaire algérien et la firme espagnole a amené cette dernière à mettre à profit de Sacomas sa technologie qui lui permettra ainsi de conquérir les marchés africains.
Par ailleurs, il convient de mettre en exergue l’importance de cette réalisation de la firme Sacomas. La démarche de l’exportation permet à l’Algérie de varier sa gamme de recettes en limitant la facture des importations.
Satisfaire ses besoins internes en industrie navale est une nécessité en compagnie de l’émergence d’une industrie dont les produits sont exportés vers l’étranger, essentiellement vers le continent africain dont la demande se fait de plus en plus sentir en la matière.
Enfin, il est à signaler que le passage de la firme Sacomas à l’export est un bon signe pour l’avenir de l’économie locale. La wilaya de Tizi Ouzou enregistre donc depuis le début de l’année une dynamique de relance de son activité économique. En effet, c’était d’abord à l’entreprise Eniem d’annoncer la fin du cycle des difficultés.
La relance de son activité annonce d’ailleurs, des lendemains prometteurs pour l’exportation des produits électroménagers Eniem vers les pays de l’Afrique de l‘Ouest. Hier, ce fut à la firme Sacomas d’Azeffoun d’annoncer la bonne nouvelle de l’exportation vers le même continent. Deux entreprises qui peuvent également créer de l’emploi, si les prévisions sont bonnes.
Commentaires
Enregistrer un commentaire